Les opérateurs de jeux actifs en France veulent voir des restrictions de jeu alternatives

Les opérateurs de jeux actifs en France veulent voir des restrictions de jeu alternatives

Il existe aujourd'hui près de 100 opérateurs de jeux sous licence actifs sur le marché français des jeux de casino en ligne. Certains d'entre eux font également partie de l'association volontaire Industry Association for online gambling (BOS), qui à son tour a présenté des propositions sur la manière dont les restrictions de jeu introduites en France peuvent être ajustées pour avoir un bien meilleur impact.

Avec la situation mondiale actuelle où de plus en plus de personnes travaillent à domicile et passent plus de temps devant l'ordinateur et d'autres appareils accessibles à Internet, de plus en plus de personnes ont trouvé leur chemin dans le monde des casinos en ligne. Ensuite, le nombre de joueurs ayant des problèmes de jeu potentiels et une dépendance au jeu a augmenté à un certain niveau.

Cela doit être évité alors que BOS souhaite que l'industrie du jeu ne soit pas étouffée par des implémentations trop restrictives pour l'industrie du jeu en France. Par exemple, il a été introduit il y a quelque temps, en ce qui concerne les limites de dépôt, qui sont obligatoires en vertu de la loi française sur les jeux depuis le premier janvier 2019, que les joueurs ne sont autorisés à déposer qu'un maximum de 5000 SEK par semaine au lieu de spécifier combien ils veulent pouvoir déposer autant que possible par semaine.

Il convient de mentionner ici que les restrictions imposées en raison de la pandémie mondiale de Corona en cours visent principalement à réduire le risque de dépendance au jeu, car les personnes qui n'ont jamais joué à des jeux de casino en ligne les découvrent soudainement depuis chez elles.

Quelques suggestions alternatives pour les restrictions et un environnement de jeu plus sûr

Quelles sont certaines des suggestions faites par les membres de BOS? Sur leur site officiel, vous pouvez en savoir plus sur les restrictions alternatives suivantes pour le marché des jeux d'argent en France:

  • Introduire des licences B2B pour les fournisseurs de jeux. Cela signifie que les développeurs de jeux qui proposent des jeux de casino aux opérateurs de jeux actifs en France devraient être agréés par l'Autorité française des jeux, qui est alors confrontée à des exigences plus élevées pour pouvoir diffuser leurs jeux sur le marché français des jeux.
  • Accroître la sensibilisation au jeu. Sur le site officiel de Bo, ils appellent cela la "campagne IQ pour l'industrie du jeu" où il y aura une sensibilisation accrue à Spelpause, c'est-à-dire le registre national d'auto-exclusion français où les joueurs français peuvent se suspendre pour une durée limitée de tous les opérateurs de jeux qui ont une licence française approuvée.
  • Collecte de données par les sociétés de jeux. Une autre proposition est que les opérateurs de jeux devraient être autorisés à collecter des données de jeu supplémentaires sur leurs joueurs afin de détecter les modèles de jeu plus tôt et plus efficacement, qui peuvent ensuite servir de base à la prochaine proposition, qui est inférieure à ce point.
  • Utilisez une collecte de données accrue pour placer différents acteurs à risque. Cette suggestion découle de ce qui précède qu'avec une collecte de données accrue, les joueurs sont plus facilement et correctement placés dans différentes catégories de jeux. Certains joueurs font partie du groupe à risque de développer une dépendance au jeu tandis que d'autres ne peuvent souffrir que de légers problèmes de jeu et d'autres se trouvent dans la”zone verte".

Ce qui sera mis en œuvre par la proposition susmentionnée de BOS reste à voir. Une chose est certaine: nous allons probablement voir des restrictions supplémentaires imposées par l'Inspection des jeux de hasard dans les semaines et les mois à venir.

Ceux-ci seront introduits comme des moyens prévus pour empêcher plus de personnes de souffrir de dépendance au jeu lorsqu'elles entrent en contact avec des casinos en ligne en raison de l'environnement de travail isolant auquel beaucoup ont dû s'adapter.